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  • : mélange d'humour et de sérieux. Regarder les choses sous un autre angle.
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  • salvator dedaj (alias sam)
  • Suis un peu touche à tout, bricolage, guitare, écris & compose des chansons, traduis des chansons anglaises.
Je n'aime pas l'idée qu'il faut être un winner ...beurk
né en Albanie, grandi en Australie, en France depuis '67
  • Suis un peu touche à tout, bricolage, guitare, écris & compose des chansons, traduis des chansons anglaises. Je n'aime pas l'idée qu'il faut être un winner ...beurk né en Albanie, grandi en Australie, en France depuis '67

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                                               Alléluia

C'est un arpège mystérieux
Que David jouait pour plaire à Dieu
Mais la musique n'est pas vraiment fai..te pour toi
Des cordes qui tintent, la quarte la quinte,
Accord mineur le majeur qui grimpe
Un roi perdu compose un alléluia

Alléluia, Alléluia, Alléluia, Allélu            ia

Tu avais la foi, mais des preuves manquaient
Et sur le toit où elle se baignait
Sa beauté sous la lune t'a laissé sans voix
Elle t'a enfermé chez elle
Coupé les cheveux Brisé les ailes
De tes lèvres elle a pris le Alléluia

Alléluia, Alléluia, Alléluia, Allélu            ia

Cet endroit m'est familier
J'ai vu cette chambre, usé ce plancher
Il faut dire que je vivais seul avant toi
Je t'ai vu brandir ton étendard
Mais l'amour n'est pas une marche de victoire
C'est le froid qui reste quand on brise un Alléluia

Alléluia, Alléluia, Alléluia, Allélu            ia

A une époque tu me disais
Ce qui se passe en bas, tu sais
Maintenant tu ne dévoiles plus rien pour moi
Mais souviens-toi quand tu me laissais entrer
Et que la Ste colombe en redemandait
Et tous nos soupirs étaient des alléluia

Alléluia, Alléluia, Alléluia, Allélu            ia

Peut-être que Dieu existe on non
Mais en amour j'ai appris une leçon
Qu'Il faut abattre celui qui est plus fort que toi
C'est pas un cri qu'on entend la nuit
Ni une vision qui nous éblouit
C'est le froid qui reste quand on brise un Alléluia

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Published by salvator dedaj (alias sam) - dans Chansons
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UN MONDE TRES ETRANGE

(Musique et Paroles Anglaises David Markantonatas - Traduction S.Dedaj

 

 

Il est très très étrange le monde où l'on vit

Et - tout - ce - que - je - sais c'est toi qui me l'as appris

C'est un drôle de monde et je te dis merci

 

Tu as pris un ruban magique et me l'as donné

Tu m'as appris à m'en servir au cours des années

A faire un jolis paquets de tous tes tourments

De les offrir dans la rue aux passants

 

Il est très très étrange le monde où l'on vit

Et tout ce que je sais c'est toi  qui me l'as appris

C'est un drôle de monde et je te dis merci

 

Maintenant j'ai compris ce que tu voulais de moi

Qu'un jour je te serais utile - je suivrais ta loi

Merci beaucoup c'est vrai que tu as été gentil

Mais j'dois partir - avant d'changer d'avis

 

Il est très très étrange le monde où l'on vit

Ne m'en veux pas si je ne reviens plus ici

C'est un drôle de monde et je te dis merci

 

Tu m'apprenais les choses - comme tu voulais les voir

Est-ce que tout le monde est d'accord, je veux le savoir

Tu vois les choses à ta manière pour être heureux

Mais je veux les voir moi de mes propres yeux

 

Il est très très étrange le monde où l'on vit

Ne m'en veux pas si je ne reviens plus ici

C'est un drôle de monde et je te dis merci

Tu es vraiment très étrange et je te – remercie

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Sous l'aile de l'obscurité

Je trace des mots sur du papier

Car une vision sournoise me tourmente

Et dans mon rêves … elle me hante

Et cette vision…. qui est entrée … au fond de moi

Reste là

Comme une lueur du néant

 

Dans mes rêves agités

Je traverse des ruelles glacées

sous le halo d’un réverbère

Qui joue de l’ombre et de la lumière

Quand l’éclat soudain des néons m’éblouit

Et déchire la nuit

Dans un éclat de néant

 

Dans cette lumière crue je vois

Des milliers d’ gens autour de moi

Qui disent des mots mais ne parlent pas

Qui se croisent mais ne se voient pas

Qui écrivent des chansons que personne n’entendra

Dans l’aria du chant des sirènes du néant

 

J’ai crié "mais vous êtes fous

Le néant grandit en vous

Écoutez moi vous comprendrez

Prenez mes bras, je suis tout près"

Mes paroles glissaient… sur leur regards d’illuminés

Eclairés

Par la lueur du néant

 

Et tout le monde priait

Le Dieu néon qu'ils ont créé

Mais le panneau criait "danger"

Et tous les mots qu'il dessinait

disaient tous qu'les paroles des prophètes

sont sur tous les murs dans toutes les rues

A perte de vue

Comme des reflets des lueurs Du néant

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Jetez pas, ne me jetez pas la pierre

Jetez pas la pierre si je suis un obsédé

J’suis qu'un homme tout comme ton père

Et tous ceux qui l'ont précédés

 

Il y en a qui rêvent de voitures de sport

D'argent de grand destin

Veulent montrer qu'ils sont les plus fors

Etre celui qui pisse le plus loin

Ils peuvent garder leurs autos

Et leurs prouesses latrines

Moi tout ce qu’il me faut

C’est d’la douceur féminine

 

Jetez …

 

Dames en jeans ou en tailleur

J’ose l’avouer

Me donnent envie d’jouer au docteur

Envie d'ausculter

Les femmes c’est physique

L’envie de les caresser

Toutes ces bombes anatomiques

Prêtes à nous faire sauter

 

Jetez pas …

 

J’ai une faiblesse pour les blondes

Ou est-ce les brunes ou les rouquines

Enfin il faut qu’elles soient rondes

Ou p’tites ou longilignes

Une belle norvégienne

Africaine ou Anglaise

Proposer la botte à une italienne

Une ardente qu'à la braise

 

Jetez pas …

 

Voilà qu’on me traite de vicieux

Alors que c’est hormonale

En un mot comme en deux

C’est con - génitale

Ne criez pas au scandale

Qu'on le fouette qu'on l'emprisonne

Je suis un homme tout a fait normal

Qui n'fait d'mal à personne

 

Jetez pas …

 

C’est un véritable drame

Que d’être un obsédé

De voir toutes ces femmes

Sans pouvoir les toucher

Imaginez le tableau

Qu’à longueur de journée

On vous présente des gâteaux

Qu’on vous interdit de manger

 

Jetez pas la pierre…

 

Ne le dites pas à ma femme

Ce sera notre p'tit secret

Qu'à chaque fois je me pâme

Devant un décolleté

Encore moins à ma mère

Elle serait vraiment déçue

De savoir son fils si cher

Un obsédé du...

 

Jetez pas, ne me jetez pas la pierre

Me jetez pas la pierre si je suis un obsédé

J’suis un homme tout comme ton père

Et tous ceux qui l'ont précédés

 

Jetez pas, ne me jetez pas la pierre

Jetez pas la pierre à l'obsédé que je suis

Ce n'est pour moi qu'un petit coin de rêve

De ceux qui donnent un sens à la vie

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Published by S.DEDAJ - dans Chansons
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oraison_du_plus_mort.mp3

(parlé)

Que tu sois gentil, ou vraiment pas

le jour où tu vas disparaître

on n'dira que des choses sympas

c'est ça, l'ORAISON FUNEBRE


L’oraison du plus mort, est toujours la meilleure

Tout le monde t’adore, dès que tu trépasses, dès que tu meurs

 

C’est un concours d’éloges, quelques minutes de gloire

On nous met aux premières loges, mais dans une boîte dans le noir

J'demanderais le silence, lorsque mon tour viendra

Les discours de circonstance, me laisseront froid

L’oraison du plus mort… 

Pas d’oraison funèbre, ce sera peine perdue

Si je rejoins les ténèbres, je ne  vous entendrais plus

Ce que vous aurez à dire, dites-le maintenant

Les mots qui font plaisir, ne touchent que les vivants

 

L’oraison du plus mort…

 

Sans liberté de blâmer, il n’y a pas d’éloge flatteur

Mais il n’faut pas insister, sur ton coté râleur

Si j’ai bien des défauts, je peux pas dire le contraire

Tu pourras me prendre de haut quand je serais six pieds sous terre

 

L’oraison du plus mort…

  

Je veux être élu dans les cœurs, mais à haute voix

Sans cartes d’électeurs, pas d’urne pour moi

Votre estime en deux mots, c’est toujours bon à prendre

Même si vous la placez trop haut, je finirais quand même par des cendres

 

L’oraison du plus mort…

 

 Quant à vos visites, je les apprécie maintenant

Mais du jour où je vous quitte, restez avec les vivants

N’venez pas au cimetière, où j’aurais des tas de voisins

Qui n'étaient pas tous des lumières, même s'ils seront tous éteints

 

L’oraison du plus mort… 

 

Je veux des louanges, des baisers de câlins

Avant que les anges, me prennent par la main

Lance-moi donc des fleurs, en choisissant bien celles

Qui font du bien au coeur sans tes regrets éternels

 


L’oraison du plus mort…

 

 

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Chansons

 

Quand on prend le même train,

Est-ce qu’on fait le même voyage

Ou c 'est  juste un bout de chemin

Dans un wagon qu’on partage

Il y a ceux qui s’enfuient

Et ceux qui rentrent chez eux

Le hasard les réunis

Le temps d’une gare ou deux

 

Et le jeune homme bien habillé,

A un entretien de boulot

Le monsieur d’à coté,

Attend la retraite pour bientôt

Celle qui essaye de réviser

Va passer un concours

La p'tite brune aux yeux fermés

Va retrouver son nouvel  amour

 

C'est comme d’être adhérants

D’un parti une association

On choisit tous son camp

Mais on n'a pas les mêmes raisons

ne pas rester seul chez soi

Ou pour aider son prochain

Plaire à Dieu ou le pouvoir

Ou pour faire comme les copains

 

On partage aussi un lit

Pour chasser la solitude

Par amour ou par dépit,

Peut-être même par habitude

On cherche la communion,

Pour ne faire plus qu’un

Ce n’est qu’une illusion,

On n’a pas les mêmes besoins

 

Juste un peu de tendresse

Une main que l'on tient

Des échanges de caresses

Une présence qui fait du bien

Ou phantasmes torrides

De plaisir de volupté

Le désir qui nous guide

Divergences sur l’oreiller

 

Quand on prend le même train

On ne fait pas le même voyage

C’est juste un bout de chemin

dans un wagon qu’on partage

tous ces changement dans la vie

les trains écoles collègues voisins

les noms et visages qu’on oublie

allez, faut pas rater le prochain train

 

Saura-t-on jamais,

Dans tous ces petits voyages

Dans tout ce qu’on a partagé,

Si on en garde la même image

Si on écrit ses mémoires

Sur ces virées à plusieurs

Y aurait-il autant d’histoires

Qu'il y avait, de voyageurs

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D'abord il y a l'enfance

Et tout ce qui laisse des traces

Des mots et des silences

Que plus rien n'efface

 

Est-ce de l'indifférence,

Maladresse ou mépris

Mais l'amour reste en souffrance

On le cherche toute sa vie

 

Tout va très bien dans le monde des tout petits

Vos enfants sont oublieux

Plus tard ils iront voir des psys

Alors rien de très sérieux

 

Puberté adolescence

On est mal dans sa peau

A peine sortis de l'enfance

Adulte c'est trop tôt

 

Recherche de certitudes

Et les premiers émois

Dans un monde d'adultes

Bien loin de tout ça

 

Tout va très bien ce n'est que l'âge ingrat

Vos ados sont heureux

Quelques fugues, des suicides parfois

Mais rien de très sérieux

 

Pour les adultes c'est le boulot

Vendre sa vie pour vivre

Tout en rêvant de Loto

Ou de la retraite pour être libre

 

Courber l'échine, se faire petit,

Quand faut-il dire "assez"

Tout ce chômage et les crédits

Comment garder sa dignité

 

Tout va très bien c'est une époque merveilleuse

Vos citoyens sont heureux

Quelques clodos, des dépressions nerveuses

Mais rien de très sérieux

 

On s'installe dans le quotidien

Année après année

Même si parfois on se souvient

Qu'on voulait tout casser

 

Une cigale devenue fourmi

Avec ses rêves dans un placard

Je leur montrerais bien qui je suis

Si ce n'est pas trop tard

 

Tout va très bien c'est l'histoire d'une vie

On est heureux du moins on fait semblant

Même si on pleure parfois la nuit

Rien de très important

 

Encore un peu plus loin

J'ai pas vu passer le temps

Hier j'avais les cheveux noirs

Voilà qu'ils sont tout blancs

 

Et on se sent délaissés

Travail amour passion

Faut s'écarter du chemin pour les

Nouvelles générations

 

Tout va très bien j'suis qu'un type ordinaire

J'ai tout pour être heureux

Même si parfois je désespère

Je sais que nous sommes nombreux

 

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PUB

Depuis ma naissance j'entends des voix

Touché par la grâce du Dieu des Médias

Journaux magasines, radio et télé

On la trouve partout, la Publicité

 

Achetez ceci, achetez cela

Voiture lessive tout ce qui vous plaira

Cassoulet en boîte, pâté ou foie gras

Fromage et dessert, remèdes pour l’estomac

 

Vingt-deux footballeurs se disputent un ballon

Des hommes-sandwiches montés sur crampons

Pour le tour de France on voit quelques vélos

Au milieu d'une caravane de marchands d'apéros

 

La radio untel qu'il faut écouter

La chaîne de télé qu'il faut regarder

Pour être un vrai sportif multimillionnaire

Faut des épaules larges, comme support publicitaire

 

Même en visitant les WC publics

Tu la trouveras imprimée sur papier hygiénique

Jusqu'au cimetière ou on enterrait un ami

Sur le corbillard il y avait écrit

 

Achetez du chêne avec poignées dorées

Intérieur velours pour bien vous reposer

Les meilleurs bières que la terre avalera

Si pas satisfait on vous remboursera

 

En rentrant chez moi de larmes plein les yeux

Dans ma boîte à lettres, il y avait nom de Dieu

Toujours ces messages que j'essayais d'oublier

Je sens que je vais finir par craquer

 

Mes rêves sont remplies de ces objets nécessaires

Je sais enfin ce qu'il me reste à faire

Pour trouver le sens profond de la vie

Avec des cartes bancaires, je dépenses donc je suis

 

Le lendemain matin, ayant fini ma toilette

Je fais les magasins, voir ce qu'on y proposait

Je remplis mon cabas, en vidant mon porte-monnaie

Jusqu'au dernier euro, j'étais fauché

 

Complètement paniqué, le désespoir me prit

Heureusement pour moi il y avait une maison de crédit

 

J'ai acheté ceci et j'ai acheté cela

J'ai pas tout compris mais je suis content de moi

J'ai acheté ceci et j'ai acheté cela

J'ai toute ma vie pour rembourser tout ca.

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Chansons

PRINCE CHARMANT  (Salvator DEDAJ)

 

Elle se lève le matin, Rituel quotidien, Prépare les enfants

Elle réveille son mari, lui prépare le café, comme elle fait depuis 20 ans

Elle l'entend gueuler, "c'est pas encore prêt, dépêche-toi j'suis en retard"

Et le petit pleure, elle regarde l'heure, les enfants vont manquer leur car

 

Elle se rappelle, quand elle était belle

Et les hommes qui lui faisaient la cour

Elle rêvait de son, Prince charmant

Qui l'enlèverait un jour

 

Son mari s'en va, sans un regard, les petits en font autant

Elle se maquille un peu, se farde les yeux, pour cacher les traces du temps

Elle va travailler, faut oublier, toutes ces histoires de cœur

Il y a autre chose à faire, il faut se taire, en attendant 5 heures

 

Elle se rappelle….

 

Faut se serrer la ceinture, payer les factures, qui n'arrêtent pas de tomber

C'est pas cette année, qu'elle pourra se payer, ces choses simples dont elle rêvait

Elle se met à pleurer, elle voudrait quitter, cette vie de misère

Mais les enfants sont là, ils attendent  le repas, comme ils attendaient hier

 

Elle se rappelle….

 

Son mari a prévenu, il est retenu, une réunion une galère

Mais elle sait très bien, qu'il n'en est rien, il y a longtemps qu'elle y voit clair

Le repas est fini, les enfants sont au lit, elle est devant son miroir

Elle regarde les rides, venues si vite, elle est encore seul ce soir

 

Elle se rappelle, quand elle était belle

Et les hommes qui lui faisaient la cour

Elle rêvait de son, Prince charmant

Qui l'enlèverait un jour

 

Elle se rappelle, quand elle était belle

Et les hommes qui lui faisaient la cour

Elle rêvait de son, Prince charmant

Et d'une vie pleine d'amour

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Chansons

L'HOMME DANS LE MIROIR de Salvator DEDAJ

écouter la chanson en anglais (version en bas de page)

 

L'homme dans le miroir te ressemble un peu

Le même visage mais un peu plus vieux

Le même regard si familier

Sauf que chez lui tout est inversé

    

Refrain

 

           l'homme dans le miroir, te fait peur parfois

           à cause des choses, qu'il sait sur toi

           Il connait tes secrets, tes coups de colère

           Et pourquoi tes victoires ont un goût si amère

 

L'Homme dans le miroir  Ne parle jamais

Sauf dans ta tête    que dans tes pensées

Il voit tes espoirs déçus, tes raisons de vivre

Il peut lire en toi     Comme on lit dans un livre

 

Refrain 

                                                               

Il sait même des choses  Que tu ne diras jamais

Que sa présence  t'empêche d'oublier

La fierté et la honte courage et lâcheté

Les doutes qui te rongent  Les certitudes mal placées

 

Refrain

 

Pour lui échapper   Faudrait briser la glace

Mais son regard te poursuit  Quoi que tu fasse

Tu peux partir très loin  Sans laisser de traces

Mais à la réflexion   Il sera toujours en face

 

Refrain 

 

Tu lui dit que les routes Que tu as parcouru

N'étaient pas toutes droites  Que tu as fait ce que tu as pu

Tu avais tes obstacles  Tes collines à grimper     

Avec la peur au ventre  de ne pas y arriver

 

Quand enfin tu comprends  Qu'il n'a jamais existé

Ce n'était que le regard des autres Tel que tu l'imaginais

Il reprend alors sa place Qu'il n'aurait jamais du quitter

D'un reflet dans une glace pour que tu puisse te coiffer

 

 

 

 

THE MAN IN THE MIRROR

 

The man in the mirror  looks a bit like you

Maybe a little weary  a little older too

The same look in his eyes  the same familiar face

Just his left and right that don’t   seem to be in their right place

 

Chorus
The man in the mirror          sends shivers down your spine
Because of all the things       he knows are in your mind
He knows all your secrets    the root of all your pains
Why even when you win       the bitterness remains

 

The man in the mirror  leaves it all unsaid

Except for your ears  he only talks inside your head

He's often seen you fall  he sees you when you stand          

He can read your soul  like the palm of your hand

Chorus

 

He even knows the things   that you can never share

that he won't let you forget  as long as he is there

your pride and your shame cowardice and bravery

the doubts that make you suffer,  your misguided certainties

Chorus

 

You can never leave him  never break away

You will always find him  standing in your way

You could travel very far  leaving no trace behind   

He will always find you  in the reflections of your mind

Chorus

 

You tell him that the paths  you had to travel through

Were never very easy you did the best that you could do

You had your own rivers to cross  mountains and canyons unknown

Fearing all along  that you won't make it on your own

 

When at last you understand what you were going through

It's just how you imagine  other people look at you

The man in the mirror  was never really there

Or just a reflection for  you to comb your hair

 

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